Transaction de parts

J'achète ou je reprends une clinique vétérinaire

Pour des raisons démographiques, de nombreux vétérinaires partiront à la retraite dans les prochaines années. La reprise d’une clientèle ou l’achat de parts d’une clinique en croissance est une opportunité pour s’installer plus rapidement avec une équipe déjà opérationnelle.


Dans tous les cas, la reprise d’une clinique vétérinaire représente un engagement financier qui nécessite d’être préparé et étudié pour que l’opération soit une réussite. 


Notre engagement à vos côtés pour conduire votre projet de reprise de clinique est de vous apporter des réponses et des solutions aux interrogations suivantes :

  • Quel est le prix maximum (minimum) de la clinique ?
  • Comment parvenir à un accord avec le vétérinaire vendeur ?
  • Quels sont les points d’attention pour la reprise d’une clinique vétérinaire ?
  • Comment financer la reprise d’une clinique vétérinaire ?
  • Quelle forme de société pour optimiser la reprise d’une clinique : nom propre, SELARL, SELAS, SCP, ...


Les services proposés

En pratique

Questions Réponses

Sécuriser l'achat de votre future clinique vétérinaire

Selon vos besoins et votre projet, notre intervention pour faire aboutir votre achat de clinique (ou de parts) peut être ponctuel ou global.


Pour réussir votre reprise dans de bonnes conditions, nous vous apportons notre parfaite maitrise des aspects techniques (financiers, juridiques et fiscaux) et nous vous proposerons des solutions pour faciliter l’obtention d’un accord avec le vendeur.


Concrètement, nous intervenons dès l'évaluation :


  • Evaluer la valeur de clinique vétérinaire ciblée et identifier les sujets à négocier (immobilier, collaboration, ...). L'évaluation de la clinique se fait selon 2 approches : 
  • Valeur de rentabilité fondée sur la rentabilité et les capacités propres de la clinique ;
  • Valeur de marché par comparaison avec des transactions récentes de cliniques vétérinaires aux caractéristiques identiques.



Et nous vous accompagnons aussi pour :


  • Préparer des comptes prévisionnels sur 3 ans intégrant les actions de gestion et le plan de développement prévu par l’acquéreur. Ces éléments sont indispensables pour se projeter et juger de l’intérêt ou non du dossier. Ce business plan sert également de support pour présenter les dossiers de demandes de prêts bancaires.


  • Exposer le schéma juridique et fiscal adéquat pour optimiser le financement de votre reprise : est-il préférable d’acquérir les parts sociales ou le fonds de commerce ? Est-il nécessaire de constituer une holding (SPFPL) ? La réduction de capital est-elle une solution ?


  • Proposer des solutions pour aboutir à un accord financier avec le vendeur ou avec les autres associés de la clinique, puis contractualiser et obtenir les financements bancaires pour l’aboutissement de la transaction,


  • Définir le planning, les durées de validité de votre offre, et le calendrier des opérations de reprise ;


  • Assurer le suivi et la coordination des intervenants jusqu’à l’aboutissement de l’acquisition.


L'évaluation des parts de clientèle, plus qu'un simple exercice comptable


Quel est l’atout majeur de la clinique vétérinaire que vous projetez d’acquérir ? Son AVENIR… pas son passé.


Pour confirmer vos intuitions, il est tout fait possible de chiffrer le potentiel de croissance du CA de votre future clinique. grâce à une étude de potentiel DataMAX. Les conclusions de cette étude seront reprises dans le business plan qui appuiera le plan de financement de votre acquisition.

Les 3 phases de la négociation et de la reprise

Après accord sur la lettre de mission qui fixe le périmètre de notre intervention et notre rémunération (au forfait ou au résultat), 3 phases s’enchainent :


1.     Analyses préalables aux négociations : retraitements de la rentabilité, projections, identification des points d’attention (juridique), intérêts stratégiques, évaluation et approche de la valeur intrinsèque et du prix de marché de la clinique ; plan de financement ;


2.     Exécution de la prestation définie selon le calendrier annoncé : rapport d’évaluation, schéma de financement, stratégie de négociation (1er offre, conditions d’amélioration de votre offre initiale), conduite des négociations pour votre compte, rédaction de votre offre de reprise ou LOI,

 

3.     Suivi et coordination jusqu’à l’achat définitif : suivi des audits, relecture des contrats, formulation des observations. 




2 options de Tarif


  • Forfaitaire : à partir 200 € HT / heure.

Règlement possible en crédits Coveto.


  • Au résultat : % du prix de la transaction, pour garantir un alignement d’intérêt : . 


Questions - Réponses sur la transaction des parts

  • Je suis salarié, pouvez-vous m'aider pour racheter des parts de clientèle ?

    L’accompagnement est assez proche de celui mis en œuvre pour une reprise de clientèle : évaluation, prévisionnel, plan de financement, négociation, détermination du schéma juridique le plus efficient, concrétisation. 


    A la différence d’une vente classique, la reprise des parts d’un associé sortant peut faire appel à différentes techniques juridiques comme le retrait de l’associé via une réduction de capital, ou encore la création d’une holding de type SPFPL. 

  • Quelle est la différence entre votre prestation et celle de mon expert-comptable ?

    Trois différences majeures : 


    1. Dans les négociations, l’expert-comptable a une position de technicien du chiffre. Il vérifie les comptes du vendeur. Nous vous assisterons dans les négociations avec le vendeur et vos futurs associés en proposant des solutions pour rapprocher les positions des Parties, et faire aboutir l’opération dans des conditions acceptables. 


    2. Nos relations avec les réseaux bancaires qui financent les professions libérales ; 


    3. Une projection de votre situation au-delà de la reprise : statut et modalités d’exercice, protection sociale individuelle ou collective (maladie, incapacité, etc.), pacte entre les futurs associés (modalités de départ d’un associé, conditions en cas de revente éventuelle à un réseau...) 


  • Faut-il reprendre l'immobilier ?

    Régulièrement, l’ancien vétérinaire possède les murs et souhaite les vendre pour ne pas être dépendant de son repreneur. C’est un point qui peut être délicat car cela génère un endettement important. 


    Par ailleurs, certains locaux sont adaptables aux pratiques modernes, d’autres non (salles d’attente différenciées, scanner, plusieurs salles de consultations, ...). 


    Selon les situations, différentes solutions pourront être envisagées (droit de priorité, promesse d’achat ou de vente à terme, vente à un tiers investisseur, etc.) pour permettre à l’opération d’aboutir. 


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